Si le paysage médiatique russe se caractérisait déjà par un fort dirigisme de l’Etat et par une réglementation et des répressions draconiennes, cette tendance s’est accentuée encore depuis la grande offensive contre l’Ukraine. Tous les médias d’envergure appartiennent soit directement à l’Etat, soit à des oligarques ou à des groupes lui ayant prêté allégeance.
