Un projet de loi sur la libéralisation du
15 Débats
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Un projet de loi sur la libéralisation du
La
Le droit à l'avortement a été inscrit dans la Constitution française. Après un
Après l'Assemblée nationale, le Sénat a à son tour adopté à une large majorité jeudi l'inscription dans la Constitution du droit à l'IVG. La majorité des trois cinquièmes nécessaire pour entériner le vote lors d'une réunion du Parlement en Congrès, le 4 mars, est considéré comme une formalité. Cette initiative vise à rendre irréversible le droit des femmes à recourir à l'IVG. La presse n'est pas unanime quant au bien fondé et à la portée de la mesure.
Aux Etats-Unis, le Kansas choisit le droit à l'avortement : lors d'un référendum, près de 60 pour cent des électeurs ont voté en faveur du maintien de l'IVG dans la Constitution de l'Etat. La
En Hongrie, l'IVG est désormais soumise à une nouvelle condition : pour pouvoir solliciter une IVG, les femmes enceintes doivent préalablement prendre un rendez-vous chez le gynécologue à seule fin d'écouter les battements de cœur de l'embryon, et ce pour "qu'elles prennent pleinement conscience de la présence des fonctions vitales de l'embryon". Réactions très contrastées dans la presse magyare.
Plusieurs jours d'affilée, les gens ont manifesté par milliers en Pologne contre un durcissement du droit à l'IVG et contre le gouvernement. Une
Chaque année en Estonie, les groupes parlementaires ont le droit de consacrer six millions d'euros à des investissements régionaux, dont ils sont libres de choisir les bénéficiaires. Les partis encouragent généralement des projets qui leur tiennent particulièrement à cœur. Cette année, les
En Pologne, la mobilisation contre le durcissement de la loi sur l'IVG ne faiblit pas. Vendredi, environ 100 000 personnes se sont rassemblées à Varsovie, paralysant la circulation dans la capitale. En cause, une décision de la Cour constitutionnelle polonaise frappant d'illégalité les interruptions de grossesse motivées par une grave malformation du fœtus, durcissant un peu plus l'une des législations les plus strictes d'Europe en matière d'IVG.
L'Italie a révisé sa législation sur l'avortement pharmacologique. Le ministre de la Santé, Roberto Speranza, a indiqué samedi que la prescription de la pilule RU486 serait dorénavant autorisée jusqu'à la neuvième semaine de grossesse, sans hospitalisation de plusieurs jours. Il a évoqué une "avancée importante", conforme aux lois existantes. Critique virulente des représentants d'associations catholiques.
Le vote du Parlement portant sur une dépénalisation de l'avortement en Belgique a été reporté jeudi pour la deuxième fois. Le projet de loi rendrait possible des IVG au-delà du troisième mois de grossesse. Certains éditorialistes considèrent qu'une telle décision devrait plutôt être prise sous un gouvernement stable, alors que d'autres jugent antidémocratique la tactique de retardement.
L'autorité suédoise pour la collaboration internationale de développement, la Sida, a annoncé ne plus vouloir financer les organismes qui suivraient les directives anti-IVG de l'administration Trump. Est-ce une bonne décision pour garantir l'efficacité de l'aide au développement, ou la Sida est-elle trop à cheval sur les principes ?
Le gouvernement irlandais a annoncé la tenue au printemps d'un référendum sur la légalisation de l'IVG. L'interdiction de l'avortement actuellement en vigueur en Irlande compte parmi les plus strictes de l'UE, malgré de premières concessions en 2014. Si les avis sur la question ont évolué dans l'opinion irlandaise, les journalistes maltais relaient pour leur part des positions plus conservatrices.
Des militantes polonaises appellent toutes les femmes du pays à se mettre en