Le parti socialiste catalan (PSC) a remporté les élections régionales dans la généralité, tandis que les
27 Débats
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Le parti socialiste catalan (PSC) a remporté les élections régionales dans la généralité, tandis que les
En contrepartie de son soutien à la
D'après les recherches du laboratoire Citizen Lab de l'université de Toronto, les téléphones portables de plus de 60 personnes liées au
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a rencontré mercredi Pere Aragonès, nouveau président de la Généralité de Catalogne, pour renouer le dialogue, en suspens depuis un an et demi, sur le statut de la région. Unique résultat : la volonté de poursuivre les discussions, en dépit de positions opposées. Junts, le plus radical des partenaires de coalition formant le
Le gouvernement espagnol a mis son projet à exécution et gracié neuf leaders séparatistes catalans, malgré une forte opposition dans le pays. Au bout de trois ans de détention, ils bénéficieront ce mercredi d'une libération conditionnelle ; ils ne pourront pas exercer de mandat politique. Si les éditorialistes espagnols se déchirent sur la question, les médias étrangers approuvent la mesure.
Le Parlement européen a levé l'immunité de
Une majorité gouvernementale est en passe de se dessiner en Espagne : une coalition formée par les socialistes du PSOE et l'alliance de gauche Unidos Podemos (UP), et soutenue par la Gauche républicaine de Catalogne (ERC, séparatiste). L'ERC conditionne toutefois son assentiment à la garantie que le Parquet s'alignera sur le
Des milliers de personnes manifestent chaque jour dans les rues de Barcelone et d'autres villes catalanes depuis la condamnation de
Le procès intenté aux douze séparatistes catalans a commencé mardi devant la Cour suprême à Madrid. Le Parquet requiert des peines allant jusqu'à 25 ans de prison pour rébellion, sédition et détournement de fonds en lien avec le
Dans les négociations avec les séparatistes catalans, le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez a accédé à la demande de dépêcher un rapporteur indépendant. L'opposition de droite, formée du Partido popular (PP, conservateur), Ciudadanos (libéral) et Vox (extrême droite) y voit une menace à l'unité de l'Espagne et appelle à la tenue d'une grande manifestation, dimanche, afin de réclamer des élections anticipées. Les jours du gouvernement minoritaire espagnol sont-ils comptés ?
Selon le Parquet général du land de Schleswig-Holstein, le mandat européen émis à l'encontre de Carles Puigdemont est fondé et les autorités allemandes doivent accéder à la demande d'extradition visant l'ex-dirigeant catalan. La justice espagnole l'accuse entre autres de sédition. Le tribunal régional doit maintenant statuer sur l'extradition. La question divise les commentateurs.
Le gouvernement minoritaire du Premier ministre Mariano Rajoy voudrait interférer dans la politique linguistique catalane. Elle en aurait théoriquement le pouvoir, de par la
Aux élections anticipées en Catalogne, les trois partis séparatistes ont préservé leur majorité. Ensemble, ils occuperont 70 des 135 sièges au Parlement. Avec 37 sièges, le parti libéral Ciudadanos, qui s'oppose catégoriquement à l'indépendance, est arrivé en tête du scrutin mais ne dispose pas de potentiels partenaires de coalition. Si cette élection n'a pas résolu le conflit, elle a du moins permis de préciser certaines positions, de l'avis des éditorialistes européens.
L'ex-président régional de Catalogne
Des centaines de milliers de personnes ont manifesté dimanche à Barcelone en faveur de l'unité de l'Espagne. Le gouvernement central venait de placer la Catalogne sécessionniste
Le Sénat espagnol va fort probablement avaliser ce vendredi les mesures coercitives proposées par le gouvernement central de Madrid contre la Catalogne. Jeudi, le président de la région de Catalogne Carles Puigdemont avait rejeté l'option d'élections anticipées tout en maintenant son projet de sécession. Un accord pacifique est-il encore possible ?
Pour empêcher que le gouvernement de Catalogne ne procède à une sécession illégale, le gouvernement central de Madrid entend suspendre le statut d'autonomie de cette région aux velléités indépendantistes. La situation n'a jamais été aussi explosive, craignent les commentateurs qui mettent en doute l'habileté politique des principaux protagonistes.
Le chef du gouvernement de Catalogne, Carles Puigdemont, a signé mais aussitôt suspendu la déclaration d'indépendance de la région. Dans son discours devant le Parlement régional, il a indiqué vouloir donner le temps de mener un dialogue avec Madrid. Certains éditorialistes y voient une approche réconciliatrice, d'autres, une provocation.
Des centaines de milliers de personnes ont manifesté mardi contre les violences policières qui avaient émaillé dimanche le déroulement du
A l'approche imminente de la date du référendum en Catalogne, la tenue du scrutin dimanche est plus hypothétique que jamais. La police a pour mission de verrouiller tous les locaux susceptibles de faire office de bureaux de vote et des milliers de renforts de police ont été envoyés dans la région. De son côté, le gouvernement régional maintient le rendez-vous électoral. Si les commentateurs ont des interprétations divergentes des aspirations indépendantistes des séparatistes, ils craignent tous que la situation dégénère.
En Espagne, le gouvernement central espagnol hausse le ton contre les séparatistes catalans. Ce mercredi, la police militaire a arrêté douze hauts-fonctionnaires du gouvernement régional. Les politiques catalans sont de plus en plus nombreux à plaider la cause du référendum sur l'indépendance du 1er octobre. Dans d'autres régions d'Espagne, il y a eu des manifestations de soutien. Faut-il abandonner tout espoir de trouver un terrain d'entente ?
Le Tribunal constitutionnel espagnol a mis entre parenthèses le référendum d'indépendance dont la région autonome de Catalogne prévoyait prochainement la tenue. La veille, les parlementaires avaient adopté au Parlement régional une loi censée ouvrir la voie à un référendum, dont la date avait été arrêtée au 1er octobre. Les commentateurs se demandent si les indépendantistes poursuivent une cause juste, mais en choisissant la mauvaise stratégie.